Saturday, September 5, 2009

cadeau fait à Abdu'l-Baha de la part d'un pauvre ouvrier baha'i d'Ishgabàd.

anecdote 23
Il circule une histoire à propos d'un cadeau fait à Abdu'l-Baha de la part d'un pauvre ouvrier baha'i d'Ishgabàd. Cet homme avait entendu dire qu'un voyageur en route pour Londres traversait sa ville pour rejoindre Abdu'l-Baha et il était anxieux d'envoyer un cadeau à son Maître bien-aimé. Mais il n'avait rien à donner, il pria donc le voyageur de prendre son modeste dîner, qu'il avait enveloppé avec un mouchoir de coton, et de l'apporter à Abdu'l-Baha comme preuve de son amour. Il s'écoula plusieurs jours avant que le voyageur ne parvienne à Londres. Il rejoignit Abdu'l-Baha lorsque celui-ci entamait son repas en compagnie de quelques invités et en toute bonne foi, il présenta le cadeau de l'ouvrier en racontant les circonstances relatives au don. Abdu'l-Baha dénoua le mouchoir. Il contenait un morceau de pain noir et sec ainsi qu'une pomme ratatinée. Que fit Abdu'l-Baha avec cela ? Il rompit le pain en petits morceaux et Il incita les invités à se joindre à Lui pour se nourrir du dîner de l'ouvrier. " Mangez avec moi de ce cadeau d'un amour humble " dit-Il. Et Abdu'l-Baha renonça à son propre repas. (CH 161)
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anecdote 24
Pendant qu'Abdu'l-Baha était à Dublin, Il séjourna dans un petit hôtel. Une femme qui était descendue au même hôtel raconte l'histoire suivante:

De bonne heure, un certain matin, elle jetait un coup d'œil par la fenêtre lorsqu'elle vit Abdu'l-Baha marchant de long en large, dictant pour Son secrétaire. Comme elle regardait, un homme âgé vêtu d'habits sales et déchirés passa devant l'auberge. Abdu'l-Baha envoya Son secrétaire pour lui dire de revenir.

À l'approche de l'homme, Abdu'l-Baha s'avança pour l'accueillir. Il prit la main du pauvre homme dans la sienne et lui sourit comme s'Il souhaitait la bienvenue à un ami de longue date. Il lui parla quelques minutes en essayant de fournit de l'ardeur au vieil homme. Finalement, l'homme sourit un peu, mais c'était quand même plutôt triste. Pendant qu'Abdu'l-Baha lui parlait, Il observait l'homme. Il constata que ses pantalons étaient très déchirés et cachaient à peine son corps. Il dit: "Nous devons faire quelque chose à propos de cela."

Il n'y avait personne dans la rue car c'était très tôt le matin. En riant gentiment Abdu'l-Baha se mit à l'ombre d'un mur et commença à fouiller en dessous de Sa tunique. Alors, Il se pencha en avant et Il laissa ses pantalons tomber sur le sol. Il remit Sa tunique en place et se tournant vers le vieil homme, Il lui donna ses pantalons. " Que Dieu soit avec vous " dit-Il. Alors, Il se tourna vers Son secrétaire et continua à dicter comme si rien d'inhabituel ne s'était produit. (PF 128)

anecdote 25
Un jour, à Londres, un visiteur posa la question suivante à Abdu'l-Baha: "Le bonheur succédera-t-il un jour à l'affliction dans le monde?"

Abdu'l-Baha lui répondit: "Il y a presque deux mille ans maintenant que Sa Sainteté le Seigneur Christ enseigna à Son peuple cette prière: "Que Ton règne vienne, que Ta Volonté soit faite sur la terre comme au ciel. " Pensez-vous qu'Il vous aurait enjoint de prier pour quelque chose qui ne pourrait jamais arriver? Cette prière constitue en même temps une prophétie."

Le visiteur dit: "Mais, Abdu'l-Baha, quand le Règne arrivera-t-il? Peut-on espérer que Sa Volonté sera faite prochainement sur la terre comme au ciel?"

"Cela dépend", dit Abdu'l-Baha. " Cela dépend de la fermeté de chacun d'entre vous à servir la Cause jour et nuit. Vous êtes tous des flambeaux que j'ai allumés de mes propres mains. Allez et allumez en d'autres jusqu'à ce que tous les serviteurs divisés dans l'attente se fusionnent dans une grande Unité."

"Ceux qui travaillent en solitaires " dit-Il, "sont comme des fourmis, mais en s'unifiant, ils deviendront comme des aigles. Ceux qui travaillent seuls sont comme des gouttes d'eau mais en se combinant avec d'autres, ils deviendront une grande rivière qui apportera l'eau pure de la vie aux endroits désertiques du monde. Quand cette grande rivière de vie deviendra un fleuve, toutes les misères, les tristesses et les afflictions seront enrayées. Soyez unis! C'est dangereux de n'être qu'une simple goutte; elle peut être répandue ou s'évaporée." (CH 171)
Abdu'l-Baha faisait ressentir à tous qu'ils étaient comme Sa propre famille. Un jour en Angleterre, Il était assis en compagnie de deux dames, l'une d'elles lui dit: "Maître, n'avez-vous pas hâte d'être de retour à Haïfa et d'être avec votre famille bien-aimée?"

Abdu'l-Baha sourit et dit: "Je veux que vous compreniez que vous êtes toutes deux mes filles et que vous m'êtes aussi chère que mes propres filles à Haïfa."

Les dames n'en croyaient pas leurs oreilles et elles se demandaient comment elles pouvaient mériter un si grand honneur, mais cela leur a permis de comprendre les enseignements de Baha'u'llah sur l'unité du genre humain et sur l'appartenance de tous les hommes à la même famille. (CH 171)

anecdote 27
Abdu'l-Baha aimait les enfants. Un jour, Il fut invité avec quelques baha'is dans East Sheen à Londres pour rendre visite à une famille ayant trois enfants en bas âge. En un rien de temps, les enfants montèrent sur Ses genoux, s'agrippèrent à Son cou et, aussitôt qu'Il commença à parler, ils devinrent tranquilles comme trois petites souris.

Tout en parlant, Abdu'l-Baha caressait les cheveux des petits et Il disait: "Bénis sont les enfants, de qui Sa Sainteté le Christ a dit: "Le Royaume des Cieux leur appartient. Les enfants n'ont pas d'ambitions terrestres. Leurs cœurs sont purs. Nous devons devenir comme les enfants ..." Nous devons purifier notre cœur pour percevoir Dieu par Ses Manifestations Majeures et obéir aux lois que nous révèlent Ceux-ci, Ses Messagers."

Plus tard, au cours de la même journée, Il prit une marche dans Richmond Park. De là, Il a assisté à une course de poneys entre quelques garçons et une fille. Abdu'l-Baha a semblé particulièrement réjoui lorsque la fille gagna la course. Il s'approcha d'elle en disant: "Bravo, Bravo!" (CH 165)

* * *
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anecdote 28
Abdu'l-Baha désirait toujours que les gens soient heureux. Il manifestait cette attitude de plusieurs façons. Il demandait toujours aux gens, "Êtes-vous bien? Êtes-vous heureux?"

Un jour à Londres, des cascades de rires provenant d'une cuisine se faisaient entendre. Abdu'l-Baha se dirigea rapidement vers le groupe enjoué.

"Je suis très content de vous voir si heureux" dit-Il. "Mais dites-moi, pourquoi riez-vous?"

Les propos suivants entre le serviteur persan et le tenancier anglais avaient été échangés: Le Persan avait dit: "En Orient, les femmes portent un voile et font tout le travail. " À quoi l'Anglais avait répondu: "En Occident, les femmes ne portent pas le voile et s'assurent que les hommes effectuent au moins un peu du travail. Vous feriez mieux de continuer à nettoyer cette argenterie."

Abdu'l-Baha rit de bon cœur et donna à chacun une petite pièce d'or, simplement pour souligner leur bonheur! (CH 163
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anecdote 29
Abdu'l-Baha s'intéressait beaucoup du travail accessible aux femmes et à leur progression. Pendant qu'Il était en Europe et en Amérique, plusieurs femmes de notoriété vinrent le voir, telles que Madame Annie Besant, présidente de la Société de Théologie, des dirigeantes d'organisations féminines variées, des travailleuses sociales, des directrices d'institutions d'enseignement pour filles et bien d'autres.

Un jour, une dame qui croyait fermement au droit de vote des femmes vint rendre visite à Abdu'l-Baha. Le maître a parlé de la condition générale de la femme dans différentes parties du monde, puis Il s'est tourné vers la dame et lui dit: "Donnez-moi les raisons qui vous permettent de croire que les femmes devraient avoir le droit de vote."

La dame répondit: "Je crois que la race humaine est d'origine divine et qu'elle doit s'élever de plus en plus haut mais qu'elle ne peut voler d'une seule aile."

Abdu'l-Baha fut ravi par cette réponse. Il sourit et demanda: "Mais que feriez-vous si l'une des deux ailes était plus forte que l'autre?"

Elle répondit: "Alors nous devrions renforcer l'aile la plus faible, car le vol ne serait pas très en douceur."

Abdu'l-Baha sourit encore et dit: "Que diriez-vous si je vous prouvais que la femme est l'aile la plus forte?"

Et la dame répondit le plus gracieusement qu'elle put: "Vous gagneriez ma reconnaissance éternelle!" (AL 104)

Les gens se demandaient souvent comment Abdu'l-Baha pouvait manifester constamment autant de force et d'énergie.

Un jour, Abdu'l-Baha était revenu extrêmement fatigué d'une réunion. Ses amis étaient attristés de l'épuisement qu'Il démontrait en gravissant les nombreuses marches menant à l'étage des chambres du haut.

Soudain, à l'émerveillement de tous, le Maître courut sans s'arrêter jusqu'au haut de l'escalier. Du sommet, Son regard s'abaissa vers Ses amis et Il dit: "Vous êtes tous très âgés; je suis moi-même très jeune!" Tout signe de fatigue avait complètement disparu de Son visage et Il se tenait là en leur souriant.

Constatant la surprise de chacun, Abdu'l-Baha dit: "Au pouvoir de Baha'u'llah, rien n'est impossible. Je n'ai fait qu'utiliser ce pouvoir." (CH 169)
Abdu'l-Baha connaissait seulement quelques mots d'anglais mais Il n'avait aucune difficulté à faire comprendre Son message. Si les mots ne pouvaient pas être compris, Il parlait le langage du cœur et les gens en saisissaient le sens.

Il y a un récit traitant d'un mineur américain qui ne pouvait ni lire ni écrire. Ce dernier avait entendu parler d'Abdu'l-Baha et avait effectué un long périple à pied pour Le rencontrer alors qu'Il était à San Francisco.

Même si cet homme n'était pas instruit, une grandeur d'âme l'habitait. Un jour, il se rendit à une réunion où Abdu'l-Baha parlait. Il écoutait, ses yeux et son cœur étaient captivés par chaque mouvement et par chaque parole d'Abdu'l-Baha. C'était comme s'il s'abreuvait à une cascade d'eau fraîche.

Quand l'interprète commençait à traduire les phrases en anglais, le mineur murmurait: "Pourquoi cet homme intervient-il ?"

Puis Abdu'l-Baha reprit la parole et le mineur écouta avec ravissement, mais lorsque l'interprète recommença à traduire en anglais, le mineur perdit patience et dit: "Pourquoi laisse-t-on cet homme déranger ? On devrait le mettre dehors."

La personne assise près du mineur donna l'explication en disant: "Il est l'interprète officiel, il traduit du persan en anglais pour votre compréhension."

Le mineur répondit: "Comment cela, tout le monde pouvait comprendre. Parlait-Il en persan?
"(PF 98)
anecdote 37
Abdu'l-Baha n'attendait pas que les gens parviennent vers Lui. Si l'on désirait Le rencontrer, Il venait vers tous.

Lorsque Abdu'l-Baha fut à Paris, l'ambassadeur du Japon à Madrid et son épouse avaient hâte de voir Abdu'l-Baha, mais la noble dame ne se sentait pas bien.

"Je suis très triste " dit-elle. " Je ne peux pas sortir puisque ma grippe est très mauvaise et je repars tôt demain matin pour l'Espagne. Si seulement j'avais l'occasion de Le voir!"

Ceci fut répété à Abdu'l-Baha. Malgré l'heure tardive de Son retour chez Lui après un très long et fatigant voyage, Il dit: "Dites à la dame et à son époux que j'irai chez elle puisqu'elle n'est pas capable de venir à moi."

Sur ce, Abdu'l-Baha brava le froid et la pluie pour se présenter avec Son sourire courtois à l'hôtel où l'Ambassadeur s'était retiré.

Là-bas, Il élabora des sujets pertinents pour le couple japonais. Il parla des conditions de vie au Japon, de l'importance considérable de ce pays au niveau international, du service à l'humanité et de la nécessité d'éviter les guerres. Il dit qu'il était impératif d'améliorer les conditions de vie des travailleurs et d'éduquer tant les filles que les garçons. Il compara la religion et la science aux deux ailes de l'humanité qui lui permettent de s'envoler aisément. Ensuite Il mentionna que l'homme n'avait pas encore découvert qu'il y avait une puissante énergie dans la nature. Prions donc Dieu afin que cette puissance ne soit pas découverte avant que les gens ne soient spirituellement développés parce que, entre les mains d'hommes aux instincts primitifs, cette force pourrait détruire toute la terre.

Abdu'l-Baha parla de cela et de plusieurs autres sujets importants et ceux qui l'entendaient disaient: "Comment peut-Il comprendre si bien les problèmes mondiaux et posséder la sagesse de les résoudre aussi facilement, après avoir été emprisonné toute Sa vie dans une forteresse orientale?" (CH 183)

Un professeur réputé d'une université américaine a dit qu'un jour qu'Abdu'l-Baha réunira certainement l'Est et l'Ouest: Il serpente les méandres du mysticisme d'une démarche concrète. (AB 288)

Une autre personnalité distinguée dit d'Abdu'l-Baha: "Je crois qu'Il est le plus parfait gentilhomme qu'il m'ait été donné de croiser." (PF 116)

Abdu'l-Baha n'avait peur de rien. Lorsqu'Il était à Paris, l'une des baha'ies, une noble dame, a reçu une lettre qui disait: "Il serait sage d'avertir Abdu'l-Baha qu'il pourrait être dangereux d'aller au (un certain pays) lequel est une étape prochaine dans son itinéraire, selon mes sources."

L'expéditeur de la lettre était un ami fiable de la dame, elle a donc ressenti la nécessité de prévenir Abdu'l-Baha de ce péril.

Lorsque Abdu'l-Baha entendit cette nouvelle, Il ne fit que sourire et dit: "Ma chère fille, n'avez-vous pas compris que le danger me poursuit chaque jour de ma vie, et que je serais ravi de quitter ce monde pour rejoindre mon Père?"

La dame était déchirée par la peur et l'inquiétude. " Ô Maître!", dit-elle " Nous ne souhaitons pas que Vous nous quittiez de cette façon."

"Ne soyez pas inquiète", dit-Il. " Ces ennemis n'ont aucun pouvoir sur ma vie si ce n'est celui qui leur provient du haut des cieux. Si mon Dieu Bien-aimé devait désirer que mon sang soit versé en sacrifice dans Son sentier, cela serait un jour de gloire et je peux seulement espérer qu'il arrivera bientôt."

En prononçant ces mots, Abdu'l-Baha offrait à Ses amis une vision renouvelée de la signification de la foi. Leur foi en était devenue si intense qu'un jour, lorsqu'un homme étrange s'approcha du groupe qu'ils formaient dans un jardin et les averti que ce n'était pas seulement la vie d'Abdu'l-Baha qui était menacée mais aussi leur propre vie, l'un d'eux put alors répliquer calmement: "Le Pouvoir qui protège le Maître, protège aussi ses serviteurs. Par conséquent, nous n'avons peur de rien."

L'homme fut tellement surpris par la réponse qu'il fila sans dire un mot de plus. (CH 184)
Abdu'l-Baha n'avait peur de rien. Lorsqu'Il était à Paris, l'une des baha'ies, une noble dame, a reçu une lettre qui disait: "Il serait sage d'avertir Abdu'l-Baha qu'il pourrait être dangereux d'aller au (un certain pays) lequel est une étape prochaine dans son itinéraire, selon mes sources."

L'expéditeur de la lettre était un ami fiable de la dame, elle a donc ressenti la nécessité de prévenir Abdu'l-Baha de ce péril.
anecdote 32
Lorsque Abdu'l-Baha entendit cette nouvelle, Il ne fit que sourire et dit: "Ma chère fille, n'avez-vous pas compris que le danger me poursuit chaque jour de ma vie, et que je serais ravi de quitter ce monde pour rejoindre mon Père?"

La dame était déchirée par la peur et l'inquiétude. " Ô Maître!", dit-elle " Nous ne souhaitons pas que Vous nous quittiez de cette façon."

"Ne soyez pas inquiète", dit-Il. " Ces ennemis n'ont aucun pouvoir sur ma vie si ce n'est celui qui leur provient du haut des cieux. Si mon Dieu Bien-aimé devait désirer que mon sang soit versé en sacrifice dans Son sentier, cela serait un jour de gloire et je peux seulement espérer qu'il arrivera bientôt."

En prononçant ces mots, Abdu'l-Baha offrait à Ses amis une vision renouvelée de la signification de la foi. Leur foi en était devenue si intense qu'un jour, lorsqu'un homme étrange s'approcha du groupe qu'ils formaient dans un jardin et les averti que ce n'était pas seulement la vie d'Abdu'l-Baha qui était menacée mais aussi leur propre vie, l'un d'eux put alors répliquer calmement: "Le Pouvoir qui protège le Maître, protège aussi ses serviteurs. Par conséquent, nous n'avons peur de rien."

L'homme fut tellement surpris par la réponse qu'il fila sans dire un mot de plus. (CH 184)
anecdote 33
Deux jours avant le départ d'Abdu'l-Baha de Paris, une femme arriva précipitamment à une réunion tenue chez Lui. Elle dit: "Oh, comme je suis heureuse d'arriver à temps! Je dois absolument vous dire la stupéfiante raison pour laquelle je suis venue de l'Amérique en toute hâte. " Les personnes présentes prêtèrent l'oreille, elle raconta son aventure:

"Un jour" dit-elle, "ma petite fille m'a saisi en disant, "Maman, si notre cher Seigneur Jésus était sur la terre maintenant, que ferais-tu?" "Mon enfant chérie "j'ai dit, "Je serais prête à prendre le premier train qui me conduirait à Lui le plus vite possible." "Bien, maman" dit-elle, "Il est présent dans le monde." Un étrange sentiment m'a envahie pendant que mon bambin parlait. Je dis, "Que veux-tu dire, mon trésor? Comment le sais-tu?" "Il me l'a dit Lui-même " répondit-elle, "alors bien sûr, Il se trouve sur la terre."

"En plein désarroi, je me suis dit, "Est-ce qu'un avertissement divin m'est donné par la bouche de mon bébé?" J'ai donc prié pour être éclairée.

"Le jour suivant, ma fille me parla encore, tout comme si elle ne pouvait comprendre la raison pour laquelle je n'avais pas réagi à son message. " Maman chérie" dit-elle, "Pourquoi n'es-tu pas partie à la rencontre du Seigneur Jésus? Il m'a dit deux fois qu'Il est vraiment parmi nous. " Je lui ai répondu: "Mon petit amour, maman ne sait pas où Il est, comment pourrais-je Le trouver? " Elle dit alors: "Nous verrons, maman. Nous verrons."

"Ce même après-midi, je suis sortie prendre une marche avec mon enfant. Soudain, elle s'est immobilisée en criant, "Il est là! Il est là!" Elle trépidait d'excitation et elle pointait du doigt la vitrine de boutique où il y avait une photo d'Abdu'l-Baha. J'ai acheté le journal, trouvé cette adresse, pris le bateau la même nuit, et me voilà!" (CH 185)
Pendant le séjour d'Abdu'l-Baha à Londres, une femme demanda la permission de rencontrer le Maître. À son entrée, une personne l'a reçue en demandant: "Avez-vous un rendez-vous? " La femme n'en avait pas et fut très attristée. L'autre dit: "Je regrette, mais Il est présentement occupé avec d'éminentes personnes et ne peut pas être dérangé."

La femme se détourna, se sentant trop insignifiante pour insister, mais elle était amèrement désappointée! Elle descendit les marches de l'escalier et s'apprêtait à quitter les lieux lorsqu'un messager d'Abdu'l-Baha courut pour l'intercepter. " Il désire vous voir " dit le messager. " Vous devez revenir. Il m'a dit de vous ramener à Lui!"

Tout le monde dans la maison avait entendu la voix d'Abdu'l-Baha provenant de la porte de Sa salle d'accueil: "Un cœur a été blessé. Vite, vite, amenez-la vers moi!" (CH 159)

Un soir, à Londres,


anecdote 35
Un soir, à Londres, quelques amies avaient pris les dispositions pour passer une soirée tranquille, seules avec Abdu'l-Baha. L'événement était rarissime. Les amies étaient très heureuses et elles aspiraient à se trouver seules avec Abdu'l-Baha. Mais, après environ une demi-heure, la réunion fut interrompue par un journaliste qui se faufila au travers des serviteurs et insista pour obtenir une entrevue avec Abdu'l-Baha. Le journaliste vint dans la salle, prit une chaise, alluma une cigarette sans en demander la permission et dit à Abdu'l-Baha: "Vous savez, je suis en train d'écrire un article pour un journal et j'aimerais des éléments d'information."

Il continuait de parler d'une manière impolie et toutes les personnes présentes en restaient bouche bée. Cet homme était en train de faire avorter tous leurs plans de soirée intime.

Après un certain temps, Abdu'l-Baha se leva et fit signe au journaliste de le suivre. Ils partirent tous deux vers le salon d'Abdu'l-Baha.

Aussitôt qu'Abdu'l-Baha eut laissé les amies seules, la salle leur parut soudainement vide. Elles se regardèrent les unes les autres et réalisaient que le journaliste importun était bel et bien parti, mais hélas, Abdu'l-Baha aussi.

La dame de la maison se demandait ce qu'elles pouvaient faire. Elle se rendit à la porte du salon d'Abdu'l-Baha et dit à Son serviteur: "Auriez-vous l'amabilité de dire à Abdu'l-Baha que les dames qui avaient obtenu rendez-vous attendent son bon vouloir?"

La dame retourna vers les invitées et attendit le résultat. Presque aussitôt, elles entendirent des pas dans le corridor. Suivit des voix d'un ton amical s'échangeant des au revoir, finalement Abdu'l-Baha revint vers elles.

Les amies étaient très contentes de Le revoir! Mais aussitôt qu'Abdu'l-Baha atteignit la porte, Il regarda chacune d'elles à tour de rôle d'un air sérieux et dit: "Vous rendiez ce pauvre homme mal à l'aise en souhaitant ardemment qu'il parte. Je l'ai pris à part pour qu'il soit content." (CH 162)

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Tribute to THE PUREST BRANCH
O! Purest Branch!

O! Thou who hast been created from the light of Baha
From Birth Thou hast knowed 
the agony of separation with your loved one's 
Pain and suffering was your companion
Causing every things to groan 
And every pillar to tremble


O Purest Branch!
......Exile....Imprisonment was your destiny

wrong of the world!
When Thou was laid blood-stained
In that most great prison
Face to face with your Creator
Begging your Lord The Lord of Host
That your life be a ransom 
To the lovers of Baha 
Like The Son of GOD JESUS CHRIST


O PUREST BRANCH!
And when The Glory of God
The Heavenly father
did accept your quest
And made Abraham sacrifice renewed
All the dwellers of the Abha tabernacle wept
And all the concourse on high to lament


O MIRZA MIHDI! 
Great is thy blessedness for thou hast been faithful to the Covenant of God!
Great is thy marthydom in the path of your Lord Alike Imam Husayn
Great indeed for the Supreme Manifestation of God 
IS YOUR HEAVENLY FATHER

O Mirza mehdi !!
The purest branch!
So pure was your soul 
that the earth tremble to welcome you

O Purest Branch
From you all the dwellers of this world 
Will be united
Praise be upon you O sacrifice of the worlds
...................................................josian dholah 30.01.05
# Posted on Wednesday, 16 February 2005 at 7:58 PM
Edited on Wednesday, 20 July 2005 at 5:06 PM

MIRZA MEHDI

MIRZA MEHDI



La Plus-pure-branche est décédé très jeune à 22 ans en 1870, alors qu'il priait en marchant sur le toit de la prison d'Akka et tomba à travers. Alors qu'il pouvait le sauver, son Père Baha'u'llah à la demande de Mihdi, offrit sa vie pour la paix du monde. Lieux: Akka, Israël
A l'irritant fardeau de ces adversités s'ajouta bientôt l'amertume d'un chagrin causé par une tragédie brutale, la perte prématurée du noble et pieux Mirzá Mihdi, la plus pure Branche, frère d'Abdu'l-Bahá, âgé de vingt-deux ans, l'un des secrétaires et compagnons d'exil de Bahá'u'lláh depuis l'époque où, encore enfant, il avait été amené de Tihrán à Baghdád pour rejoindre son père revenu de Sulaymàniyyih. Un soir, alors qu'il allait et venait sur le toit de la caserne, au crépuscule, absorbé dans ses prières habituelles, il tomba à travers une ouverture non protégée et se transperça les côtes sur un cageot en bois, posé au-dessous, sur le sol; il mourut vingt-deux heures après, le 23 rabi'u'l-avval 1287 A.H. (23 juin 1870). La dernière supplication qu'il adressa à un père désolé fut que sa vie puisse être acceptée en rançon pour ceux qui n'avaient pas pu atteindre la présence de leur Bien-Aimé.

Dans une prière d'une signification profonde, que Bahá'u'lláh révéla en mémoire de son fils - prière qui élève sa mort au rang de ces grands actes de rachat correspondant au sacrifice qu'Abraham se disposait à faire de son fils, à la crucifixion de Jésus-Christ et au martyre de l'Imàm Husayn -, on lit ce qui suit: "J'ai sacrifié ô mon Dieu, ce que tu m'as donné, fin que tes serviteurs puissent être ranimés et que tout ce qui demeure sur la terre soit uni", et encore ces paroles prophétiques, adressées à son fils martyr: "Tu es le dépôt de Dieu et son trésor en ce pays. Bientôt, Dieu révélera, par toi, ce qu'il a désiré."

Lorsque, en présence de Bahá'u'lláh, fut terminée la toilette de celui "qui avait été créé de la lumière de Bahá" dont la "douceur" fut attestée par la plume suprême de Bahá'u'lláh, et dont les "mystères" de l'ascension furent mentionnés par cette même plume, celui-là fut transporté, sous l'escorte des gardes de la forteresse, et enterré au-delà des murs de la cité, en un lieu contigu au tombeau de Nabi Sàlih. Soixante-dix ans plus tard, ses restes devaient être transférés, en même temps que ceux de son illustre mère, sur les pentes du mont Carmel, à proximité de la tombe de sa soeur, et sous l'ombre du saint sépulcre du Báb.

POUR PLUS D'INFORMATION SUR LA FOI BAHAI CONSULTER LE SITE OFFICIEL WEB 
http://.bahai.org
mon autre blog est
http://papijoon.skyblog.com

The third child of Navvab was her noble and
long-suffering son, the Purest Branch. He was the one
who, in the prime of youth, offered up his life in the path
of his Lord.[1] In a prayer revealed after his martyrdom
Bahá'u'lláh makes the following statement which Shoghi
Effendi describes as astounding: [1 For a more detailed
study of his life, see The Revelation of Bahá'u'lláh, vol. 3.]

"I have, O my Lord, offered up that which Thou hast
given Me, that Thy servants may be quickened and all
that dwell on earth be united." [7-12]

It is at once significant and mysterious that the
unity of mankind, the pivot around which all the teachings
of Bahá'u'lláh revolve, would come into being as a result
of the sacrifice of the Purest Branch. Here are
Bahá'u'lláh's words after that tragic event:

"At this very moment, My son is being washed
before My face, after Our having sacrificed him in the
Most Great Prison. Thereat have the dwellers of the
Abha Tabernacle wept with a great weeping, and such as
have suffered imprisonment with this Youth in the path
of God, the Lord of the promised Day, lamented. Under
such conditions My Pen hath not been prevented from
remembering its Lord, the Lord of all nations. It
summoneth the people unto God, the Almighty, the
All-Bountiful. This is the day whereon he that was
created by the light of Baha has suffered 124
martyrdom, at a time when he lay imprisoned at the
hands of his enemies.

"Upon thee, O Branch of God! be the remembrance
of God and His praise, and the praise of all that dwell in
the Realm of Immortality, and of all the denizens of the
Kingdom of Names. Happy art thou in that thou hast been
faithful to the Covenant of God and His Testament, until
Thou didst sacrifice thyself before the face of thy Lord,
the Almighty, the Unconstrained. Thou, in truth, hast
been wronged, and to this testifieth the Beauty of Him,
the Self-Subsisting. Thou didst, in the first days of thy
life, bear that which hath caused all things to groan; and
made every pillar to tremble. Happy is the one that
remembereth thee, and draweth nigh, through thee, unto
God, the Creator of the Morn.

"Glorified art Thou, O Lord, my God! Thou seest me
in the hands of Mine enemies, and My son blood-stained
before Thy face, O Thou in Whose hands is the kingdom
of all names. I have, O my Lord, offered up that which
Thou hast given Me, that Thy servants may be quickened
and all that dwell on earth be united. Blessed art thou,
and blessed he that turneth unto thee, and visiteth thy
grave, and draweth nigh, through thee, unto God, the
Lord of all that was and shall be... I testify that thou
didst return in meekness unto thine abode. Great is thy
blessedness and the blessedness of them that hold fast
unto the hem of thy outspread robe... Thou art, verily, the
trust of God and His treasure in this land. Erelong will
God reveal through thee that which He hath desired. He,
verily, is the Truth, the Knower of things unseen. When
thou wast laid to rest in the earth, the earth itself
trembled in its longing to meet thee. Thus hath it been
decreed, and yet the people perceive not.... Were We to
recount the mysteries of thine ascension, they that are
asleep would waken, and all beings would be set ablaze
with the fire of the remembrance of My Name, the
Mighty, the Loving." [7-13]

Indeed, the prophecy of Isaiah concerning Navvab,
whose 'husband' is 'the Lord of Hosts', has been fulfilled.

"And all thy children shall be taught of the Lord;
and great shall be the peace of thy children." 125

(Adib Taherzadeh, The Covenant of Baha'u'llah, p.
123-124)
 La Plus-pure-branche est décédé très jeune à 22 ans en 1870, alors qu'il priait en marchant sur le toit de la prison d'Akka et tomba à travers. Alors qu'il pouvait le sauver, son Père Baha'u'llah à la demande de Mihdi, offrit sa vie pour la paix du monde. Lieux: Akka, Israël
# Posted on Saturday, 20 November 2004 at 3:34 AM
Edited on Wednesday, 24 November 2004 at 11:36 AM

the LIGHT

the LIGHT
GOD IS THE LIGHT OF THE HEAVEN AND EARTH 
HIS LIGHT IS A NICHE IN WHICH ENCASED A LAMP
THE LAMP AS IT WERE A GLISTERING STAR 

FROM A BLESSED TREE 
THE OLIVE WHOSE OIL WILL LIGHT OUT 
EVEN THOUGHT FIRE TOUCH IT NOT
LIGHT UPON LIGHT 
GOD GUIDETH WHOM HE WILLETH
TO HIS LIGHT
FOR GOD SETTEST PARABLES TO MAN
FOR GOD IS THE KNOWEST.