Thursday, November 26, 2009

ANECDOTE NO 27 A 31


Abdu'l-Baha connaissait seulement quelques mots d'anglais mais Il n'avait aucune difficulté à faire comprendre Son message. Si les mots ne pouvaient pas être compris, Il parlait le langage du cœur et les gens en saisissaient le sens.

Il y a un récit traitant d'un mineur américain qui ne pouvait ni lire ni écrire. Ce dernier avait entendu parler d'Abdu'l-Baha et avait effectué un long périple à pied pour Le rencontrer alors qu'Il était à San Francisco.

Même si cet homme n'était pas instruit, une grandeur d'âme l'habitait. Un jour, il se rendit à une réunion où Abdu'l-Baha parlait. Il écoutait, ses yeux et son cœur étaient captivés par chaque mouvement et par chaque parole d'Abdu'l-Baha. C'était comme s'il s'abreuvait à une cascade d'eau fraîche. 

Quand l'interprète commençait à traduire les phrases en anglais, le mineur murmurait: "Pourquoi cet homme intervient-il ?"

Puis Abdu'l-Baha reprit la parole et le mineur écouta avec ravissement, mais lorsque l'interprète recommença à traduire en anglais, le mineur perdit patience et dit: "Pourquoi laisse-t-on cet homme déranger ? On devrait le mettre dehors."

La personne assise près du mineur donna l'explication en disant: "Il est l'interprète officiel, il traduit du persan en anglais pour votre compréhension."

Le mineur répondit: "Comment cela, tout le monde pouvait comprendre. Parlait-Il en persan? "(PF 98)
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# Posted on Monday, 06 December 2004 at 2:48 AM

anecdote 30

anecdote 30
Les gens se demandaient souvent comment Abdu'l-Baha pouvait manifester constamment autant de force et d'énergie.

Un jour, Abdu'l-Baha était revenu extrêmement fatigué d'une réunion. Ses amis étaient attristés de l'épuisement qu'Il démontrait en gravissant les nombreuses marches menant à l'étage des chambres du haut.

Soudain, à l'émerveillement de tous, le Maître courut sans s'arrêter jusqu'au haut de l'escalier. Du sommet, Son regard s'abaissa vers Ses amis et Il dit: "Vous êtes tous très âgés; je suis moi-même très jeune!" Tout signe de fatigue avait complètement disparu de Son visage et Il se tenait là en leur souriant.

Constatant la surprise de chacun, Abdu'l-Baha dit: "Au pouvoir de Baha'u'llah, rien n'est impossible. Je n'ai fait qu'utiliser ce pouvoir." (CH 169)

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# Posted on Monday, 06 December 2004 at 2:44 AM

anecdote 29

anecdote 29
Abdu'l-Baha s'intéressait beaucoup du travail accessible aux femmes et à leur progression. Pendant qu'Il était en Europe et en Amérique, plusieurs femmes de notoriété vinrent le voir, telles que Madame Annie Besant, présidente de la Société de Théologie, des dirigeantes d'organisations féminines variées, des travailleuses sociales, des directrices d'institutions d'enseignement pour filles et bien d'autres.

Un jour, une dame qui croyait fermement au droit de vote des femmes vint rendre visite à Abdu'l-Baha. Le maître a parlé de la condition générale de la femme dans différentes parties du monde, puis Il s'est tourné vers la dame et lui dit: "Donnez-moi les raisons qui vous permettent de croire que les femmes devraient avoir le droit de vote."

La dame répondit: "Je crois que la race humaine est d'origine divine et qu'elle doit s'élever de plus en plus haut mais qu'elle ne peut voler d'une seule aile."

Abdu'l-Baha fut ravi par cette réponse. Il sourit et demanda: "Mais que feriez-vous si l'une des deux ailes était plus forte que l'autre?"

Elle répondit: "Alors nous devrions renforcer l'aile la plus faible, car le vol ne serait pas très en douceur."

Abdu'l-Baha sourit encore et dit: "Que diriez-vous si je vous prouvais que la femme est l'aile la plus forte?"

Et la dame répondit le plus gracieusement qu'elle put: "Vous gagneriez ma reconnaissance éternelle!" (AL 104)
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# Posted on Monday, 06 December 2004 at 2:42 AM

anecdote 28

anecdote 28
Abdu'l-Baha désirait toujours que les gens soient heureux. Il manifestait cette attitude de plusieurs façons. Il demandait toujours aux gens, "Êtes-vous bien? Êtes-vous heureux?"

Un jour à Londres, des cascades de rires provenant d'une cuisine se faisaient entendre. Abdu'l-Baha se dirigea rapidement vers le groupe enjoué.

"Je suis très content de vous voir si heureux" dit-Il. "Mais dites-moi, pourquoi riez-vous?"

Les propos suivants entre le serviteur persan et le tenancier anglais avaient été échangés: Le Persan avait dit: "En Orient, les femmes portent un voile et font tout le travail. " À quoi l'Anglais avait répondu: "En Occident, les femmes ne portent pas le voile et s'assurent que les hommes effectuent au moins un peu du travail. Vous feriez mieux de continuer à nettoyer cette argenterie."

Abdu'l-Baha rit de bon cœur et donna à chacun une petite pièce d'or, simplement pour souligner leur bonheur! (CH 163
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# Posted on Monday, 06 December 2004 at 2:38 AM

anecdote 27

anecdote 27
Abdu'l-Baha aimait les enfants. Un jour, Il fut invité avec quelques baha'is dans East Sheen à Londres pour rendre visite à une famille ayant trois enfants en bas âge. En un rien de temps, les enfants montèrent sur Ses genoux, s'agrippèrent à Son cou et, aussitôt qu'Il commença à parler, ils devinrent tranquilles comme trois petites souris.

Tout en parlant, Abdu'l-Baha caressait les cheveux des petits et Il disait: "Bénis sont les enfants, de qui Sa Sainteté le Christ a dit: "Le Royaume des Cieux leur appartient. Les enfants n'ont pas d'ambitions terrestres. Leurs cœurs sont purs. Nous devons devenir comme les enfants ..." Nous devons purifier notre cœur pour percevoir Dieu par Ses Manifestations Majeures et obéir aux lois que nous révèlent Ceux-ci, Ses Messagers."

Plus tard, au cours de la même journée, Il prit une marche dans Richmond Park. De là, Il a assisté à une course de poneys entre quelques garçons et une fille. Abdu'l-Baha a semblé particulièrement réjoui lorsque la fille gagna la course. Il s'approcha d'elle en disant: "Bravo, Bravo!" (CH 165)

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