Abdu'l-Baha n'attendait pas que les gens parviennent vers Lui. Si l'on désirait Le rencontrer, Il venait vers tous.
Lorsque Abdu'l-Baha fut à Paris, l'ambassadeur du Japon à Madrid et son épouse avaient hâte de voir Abdu'l-Baha, mais la noble dame ne se sentait pas bien.
"Je suis très triste " dit-elle. " Je ne peux pas sortir puisque ma grippe est très mauvaise et je repars tôt demain matin pour l'Espagne. Si seulement j'avais l'occasion de Le voir!"
Ceci fut répété à Abdu'l-Baha. Malgré l'heure tardive de Son retour chez Lui après un très long et fatigant voyage, Il dit: "Dites à la dame et à son époux que j'irai chez elle puisqu'elle n'est pas capable de venir à moi."
Sur ce, Abdu'l-Baha brava le froid et la pluie pour se présenter avec Son sourire courtois à l'hôtel où l'Ambassadeur s'était retiré.
Là-bas, Il élabora des sujets pertinents pour le couple japonais. Il parla des conditions de vie au Japon, de l'importance considérable de ce pays au niveau international, du service à l'humanité et de la nécessité d'éviter les guerres. Il dit qu'il était impératif d'améliorer les conditions de vie des travailleurs et d'éduquer tant les filles que les garçons. Il compara la religion et la science aux deux ailes de l'humanité qui lui permettent de s'envoler aisément. Ensuite Il mentionna que l'homme n'avait pas encore découvert qu'il y avait une puissante énergie dans la nature. Prions donc Dieu afin que cette puissance ne soit pas découverte avant que les gens ne soient spirituellement développés parce que, entre les mains d'hommes aux instincts primitifs, cette force pourrait détruire toute la terre.
Abdu'l-Baha parla de cela et de plusieurs autres sujets importants et ceux qui l'entendaient disaient: "Comment peut-Il comprendre si bien les problèmes mondiaux et posséder la sagesse de les résoudre aussi facilement, après avoir été emprisonné toute Sa vie dans une forteresse orientale?" (CH 183)
Un professeur réputé d'une université américaine a dit qu'un jour qu'Abdu'l-Baha réunira certainement l'Est et l'Ouest: Il serpente les méandres du mysticisme d'une démarche concrète. (AB 288)
Une autre personnalité distinguée dit d'Abdu'l-Baha: "Je crois qu'Il est le plus parfait gentilhomme qu'il m'ait été donné de croiser." (PF 116)
Lorsque Abdu'l-Baha fut à Paris, l'ambassadeur du Japon à Madrid et son épouse avaient hâte de voir Abdu'l-Baha, mais la noble dame ne se sentait pas bien.
"Je suis très triste " dit-elle. " Je ne peux pas sortir puisque ma grippe est très mauvaise et je repars tôt demain matin pour l'Espagne. Si seulement j'avais l'occasion de Le voir!"
Ceci fut répété à Abdu'l-Baha. Malgré l'heure tardive de Son retour chez Lui après un très long et fatigant voyage, Il dit: "Dites à la dame et à son époux que j'irai chez elle puisqu'elle n'est pas capable de venir à moi."
Sur ce, Abdu'l-Baha brava le froid et la pluie pour se présenter avec Son sourire courtois à l'hôtel où l'Ambassadeur s'était retiré.
Là-bas, Il élabora des sujets pertinents pour le couple japonais. Il parla des conditions de vie au Japon, de l'importance considérable de ce pays au niveau international, du service à l'humanité et de la nécessité d'éviter les guerres. Il dit qu'il était impératif d'améliorer les conditions de vie des travailleurs et d'éduquer tant les filles que les garçons. Il compara la religion et la science aux deux ailes de l'humanité qui lui permettent de s'envoler aisément. Ensuite Il mentionna que l'homme n'avait pas encore découvert qu'il y avait une puissante énergie dans la nature. Prions donc Dieu afin que cette puissance ne soit pas découverte avant que les gens ne soient spirituellement développés parce que, entre les mains d'hommes aux instincts primitifs, cette force pourrait détruire toute la terre.
Abdu'l-Baha parla de cela et de plusieurs autres sujets importants et ceux qui l'entendaient disaient: "Comment peut-Il comprendre si bien les problèmes mondiaux et posséder la sagesse de les résoudre aussi facilement, après avoir été emprisonné toute Sa vie dans une forteresse orientale?" (CH 183)
Un professeur réputé d'une université américaine a dit qu'un jour qu'Abdu'l-Baha réunira certainement l'Est et l'Ouest: Il serpente les méandres du mysticisme d'une démarche concrète. (AB 288)
Une autre personnalité distinguée dit d'Abdu'l-Baha: "Je crois qu'Il est le plus parfait gentilhomme qu'il m'ait été donné de croiser." (PF 116)
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