Abdu'l-Baha n'avait peur de rien. Lorsqu'Il était à Paris, l'une des baha'ies, une noble dame, a reçu une lettre qui disait: "Il serait sage d'avertir Abdu'l-Baha qu'il pourrait être dangereux d'aller au (un certain pays) lequel est une étape prochaine dans son itinéraire, selon mes sources."
L'expéditeur de la lettre était un ami fiable de la dame, elle a donc ressenti la nécessité de prévenir Abdu'l-Baha de ce péril.
Lorsque Abdu'l-Baha entendit cette nouvelle, Il ne fit que sourire et dit: "Ma chère fille, n'avez-vous pas compris que le danger me poursuit chaque jour de ma vie, et que je serais ravi de quitter ce monde pour rejoindre mon Père?"
La dame était déchirée par la peur et l'inquiétude. " Ô Maître!", dit-elle " Nous ne souhaitons pas que Vous nous quittiez de cette façon."
"Ne soyez pas inquiète", dit-Il. " Ces ennemis n'ont aucun pouvoir sur ma vie si ce n'est celui qui leur provient du haut des cieux. Si mon Dieu Bien-aimé devait désirer que mon sang soit versé en sacrifice dans Son sentier, cela serait un jour de gloire et je peux seulement espérer qu'il arrivera bientôt."
En prononçant ces mots, Abdu'l-Baha offrait à Ses amis une vision renouvelée de la signification de la foi. Leur foi en était devenue si intense qu'un jour, lorsqu'un homme étrange s'approcha du groupe qu'ils formaient dans un jardin et les averti que ce n'était pas seulement la vie d'Abdu'l-Baha qui était menacée mais aussi leur propre vie, l'un d'eux put alors répliquer calmement: "Le Pouvoir qui protège le Maître, protège aussi ses serviteurs. Par conséquent, nous n'avons peur de rien."
L'homme fut tellement surpris par la réponse qu'il fila sans dire un mot de plus. (CH 184)
L'expéditeur de la lettre était un ami fiable de la dame, elle a donc ressenti la nécessité de prévenir Abdu'l-Baha de ce péril.
Lorsque Abdu'l-Baha entendit cette nouvelle, Il ne fit que sourire et dit: "Ma chère fille, n'avez-vous pas compris que le danger me poursuit chaque jour de ma vie, et que je serais ravi de quitter ce monde pour rejoindre mon Père?"
La dame était déchirée par la peur et l'inquiétude. " Ô Maître!", dit-elle " Nous ne souhaitons pas que Vous nous quittiez de cette façon."
"Ne soyez pas inquiète", dit-Il. " Ces ennemis n'ont aucun pouvoir sur ma vie si ce n'est celui qui leur provient du haut des cieux. Si mon Dieu Bien-aimé devait désirer que mon sang soit versé en sacrifice dans Son sentier, cela serait un jour de gloire et je peux seulement espérer qu'il arrivera bientôt."
En prononçant ces mots, Abdu'l-Baha offrait à Ses amis une vision renouvelée de la signification de la foi. Leur foi en était devenue si intense qu'un jour, lorsqu'un homme étrange s'approcha du groupe qu'ils formaient dans un jardin et les averti que ce n'était pas seulement la vie d'Abdu'l-Baha qui était menacée mais aussi leur propre vie, l'un d'eux put alors répliquer calmement: "Le Pouvoir qui protège le Maître, protège aussi ses serviteurs. Par conséquent, nous n'avons peur de rien."
L'homme fut tellement surpris par la réponse qu'il fila sans dire un mot de plus. (CH 184)
Abdu'l-Baha n'avait peur de rien. Lorsqu'Il était à Paris, l'une des baha'ies, une noble dame, a reçu une lettre qui disait: "Il serait sage d'avertir Abdu'l-Baha qu'il pourrait être dangereux d'aller au (un certain pays) lequel est une étape prochaine dans son itinéraire, selon mes sources."
L'expéditeur de la lettre était un ami fiable de la dame, elle a donc ressenti la nécessité de prévenir Abdu'l-Baha de ce péril.
Lorsque Abdu'l-Baha entendit cette nouvelle, Il ne fit que sourire et dit: "Ma chère fille, n'avez-vous pas compris que le danger me poursuit chaque jour de ma vie, et que je serais ravi de quitter ce monde pour rejoindre mon Père?"
La dame était déchirée par la peur et l'inquiétude. " Ô Maître!", dit-elle " Nous ne souhaitons pas que Vous nous quittiez de cette façon."
"Ne soyez pas inquiète", dit-Il. " Ces ennemis n'ont aucun pouvoir sur ma vie si ce n'est celui qui leur provient du haut des cieux. Si mon Dieu Bien-aimé devait désirer que mon sang soit versé en sacrifice dans Son sentier, cela serait un jour de gloire et je peux seulement espérer qu'il arrivera bientôt."
En prononçant ces mots, Abdu'l-Baha offrait à Ses amis une vision renouvelée de la signification de la foi. Leur foi en était devenue si intense qu'un jour, lorsqu'un homme étrange s'approcha du groupe qu'ils formaient dans un jardin et les averti que ce n'était pas seulement la vie d'Abdu'l-Baha qui était menacée mais aussi leur propre vie, l'un d'eux put alors répliquer calmement: "Le Pouvoir qui protège le Maître, protège aussi ses serviteurs. Par conséquent, nous n'avons peur de rien."
L'homme fut tellement surpris par la réponse qu'il fila sans dire un mot de plus. (CH 184)
L'expéditeur de la lettre était un ami fiable de la dame, elle a donc ressenti la nécessité de prévenir Abdu'l-Baha de ce péril.
Lorsque Abdu'l-Baha entendit cette nouvelle, Il ne fit que sourire et dit: "Ma chère fille, n'avez-vous pas compris que le danger me poursuit chaque jour de ma vie, et que je serais ravi de quitter ce monde pour rejoindre mon Père?"
La dame était déchirée par la peur et l'inquiétude. " Ô Maître!", dit-elle " Nous ne souhaitons pas que Vous nous quittiez de cette façon."
"Ne soyez pas inquiète", dit-Il. " Ces ennemis n'ont aucun pouvoir sur ma vie si ce n'est celui qui leur provient du haut des cieux. Si mon Dieu Bien-aimé devait désirer que mon sang soit versé en sacrifice dans Son sentier, cela serait un jour de gloire et je peux seulement espérer qu'il arrivera bientôt."
En prononçant ces mots, Abdu'l-Baha offrait à Ses amis une vision renouvelée de la signification de la foi. Leur foi en était devenue si intense qu'un jour, lorsqu'un homme étrange s'approcha du groupe qu'ils formaient dans un jardin et les averti que ce n'était pas seulement la vie d'Abdu'l-Baha qui était menacée mais aussi leur propre vie, l'un d'eux put alors répliquer calmement: "Le Pouvoir qui protège le Maître, protège aussi ses serviteurs. Par conséquent, nous n'avons peur de rien."
L'homme fut tellement surpris par la réponse qu'il fila sans dire un mot de plus. (CH 184)
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